Il faut bien avouer que le premier contact avec les œuvres de François Barbâtre est assez déconcertant. On y reconnaît certes des natures mortes, avec des choses qui n’ont pas beaucoup de charme en elles-mêmes, des boîtes, beaucoup de boîtes, des gobelets, des cageots, des garde-mangers, des briques de lait, des savons de Marseille, des …
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